Dans la maison des mères de Frank Herbert, l’auteur définit la puissance comme la quantité d’énergie que l’on peut mobiliser à un moment.
Si on y régfléchit c’est lumineux de sagesse et ça permet de mieux comprendre la crise actuelle. En fait nous vivons une déflation brutale, et donc une augmentation de la puissance relative du travail par rapport au capital. Pas de quoi de criser donc !
Les fortunes qui se sont envolées étaient basées sur des produits dérivés qui étaient basés sur des crédits immobilier qui se basaient sur un pari sur l’enflement de la bulle immobilière. Du vent sur du vent.
Maintenant qu’est-ce que l’on constate ? le prix du pétrole a plongé de 50% et l’immobilier décroit, donc le pouvoir d’achat du travail augmente.
Il faut relire Frank Herbert.