Archives de catégorie : lecture

Une des plus belles définitions de la vie … et de la mort

– Vous voulez vivre ?
Je voulus répondre mais ne trouvai pas les mots. Un nœud se formait dans ma gorge et mes yeux se remplissaient de larmes. Je n’avais pas compris jusque-là à quel point j’avais envie de continuer à respirer, d’ouvrir les yeux chaque matin, de sortir dans la rue pour fouler les pavés et voir le ciel, et, surtout, de continuer à me souvenir.

« Le jeu de L’ange » Carlos Ruiz Zafón

Recommandé à tous les …

Je viens de relire une bande dessinée assez géniale …
Pico Bogue … non non ce n’est pas de l’informatique même si parfois …

C’est une BD charmante pour tout ceux qui veulent devenir parents pour les prévenir avant et pour tout ceux dont les enfants sont grands pour leur rappeler des bons souvenirs. Un Peanuts à la française tendre comme un shamallow.

Supercordes et autres ficelles

supercordes et autres ficelles et un livre qui me laissera un souvenir mitigé. Vouloir résumé l’ensemble de la physique moderne de Galilée à la mécanique quantique et le big bang est une gageure.
Globalement l’auteur réussi à rendre son propos compréhensible (c’est une bonne révision) et m’a amené sur des aspects de la théorie de la relativité que je n’avais pas encore aperçus.
Par contre le livre est farci d’erreurs de typographie, formules inversées, mots manquants un délire de typographe fou. C’est bien simple on croirait lire le quotidien régional de par chez moi (les maux privés). C’est à se demander si le livre a été relu avant sa publication.
Dommage je pensais en conseiller la lecture à mes filles mais là c’en est à un point que parfois c’est du contre sens.

Ahhhhhhhhhhhhh la criiiiiiise

Dans la maison des mères de Frank Herbert, l’auteur définit la puissance comme la quantité d’énergie que l’on peut mobiliser à un moment.
Si on y régfléchit c’est lumineux de sagesse et ça permet de mieux comprendre la crise actuelle. En fait nous vivons une déflation brutale, et donc une augmentation de la puissance relative du travail par rapport au capital. Pas de quoi de criser donc !

Les fortunes qui se sont envolées étaient basées sur des produits dérivés qui étaient basés sur des crédits immobilier qui se basaient sur un pari sur l’enflement de la bulle immobilière. Du vent sur du vent.
Maintenant qu’est-ce que l’on constate ? le prix du pétrole a plongé de 50% et l’immobilier décroit, donc le pouvoir d’achat du travail augmente.

Il faut relire Frank Herbert.