Je me pose de plus en plus la question de la destruction de l’emploi lié au discours sur le pouvoir d’achat.
Cette démarche hédoniste du toujours plus est en fat une pression de ceux qui ont les moyens de consommer sur ceux qui produisent. La schizophrénie totale ce sont souvent les mêmes, au bémol prêt que de plus en plus de consommateurs se trouvent être sans emploi.
Pouvoir acheter ou pouvoir travailler ?
Les associations de consommateurs devraient se poser la question de leur responsabilité sur le chômage en France et faire une introspection sur les mesures qu’elles ont promues et sur leurs impacts en terme d’emploi. Sur leur part de responsabilité dans la paupérisation. On est clairement dans l’opposition du pouvoir accordé au capital sur le travail, sur le pouvoir accordé au passé sur l’avenir.

Il suffit d’aller dans une grande salle de concert de Dijon du côté de la toison d’or. Et oui un coup de gueule.

Ma tendre, connaissant ma passion pour Alain Souchon, nous avait concocté une soirée ce lundi. et ça a viré à la cata …
D’abord ce qui est remarquable dans cette grande salle avec un Z comme zéro c’est l’accueil. De charmant pit bull à deux pattes vous passent au crible dès l’arrivée et appliquent des règles imbécile « à non vous ne pouvez rentrer avec une bouteille d’eau de 75cl il faut que ça fasse moins de 50cl vous en achèterai à l’intérieur ». Sympa et chaleureux comme accueil … mais passons.

Mais le pire ça a été à l’intérieur, bon c’est inconfortable mais ça ce n’est pas très grave …

Mais le concert a été pour moi une souffrance horrible le son était pourri au possible toute la partie rythmique était trop amplifiée et certainement du à un problème d’acoustique de la salle il y avait une sorte de ronflement, les notes de la basses se chevauchait comme portée par un écho débile. On avait le même phénomène mais en moins amplifié avec la grosse caisse de la batterie ou les claviers.
Une angoisse dès que l’on voyait le bassiste se mettre à jouer.
Non seulement ce n’était pas beau mais ça faisait mal, une souffrance physique pour moi.
Ma douce qui est plus modérée a juste trouvé que c’était trop fort et que l’on ne comprenait rien au parole. Ben tiens avec un ZON ZON à chaque attaque de la basse.

Bref le Z n’a pas besoin de moi pour vivre et je peux très bien vivre sans eux je n’y mettrai plus les pattes.
Monsieur Souchon la prochaine fois préférez l’Auditorium à l’hangar.

Allo Alain bobo qu’est ce que tu m’as fait s’tait pas beau